dimanche 24 novembre 2013

Douceur (Tableau volé)

(50x50)
Volé...



Depuis toujours

Toi l’inconnue de mes rêves blancs,
 Je te prends par la main
Depuis toujours je t’aime,
Maintenant je n’ai plus peur de voyager,
Une flamme brûle dans mon cœur,
Dans une tour solitaire,
Je veillais à attendre jusqu’au lever du jour,
Cette lumière qui brille encore dans mon cœur !
Toi l’inconnue, je t’emmène écouter le vent
Qui glisse en haut de mes montagnes,
Comme tes cheveux qui font des vagues,
Je reste à regarder le vent,
En chevauchant les larmes des nuages.
Maintenant tu n’as plus peur de partir
Dans les nuits sans fin de tes solitudes,
Je suis là comme un mirage,
Je t’appelle sans fin !
Tu m’appelles comme en écho,
Je veux rester à tes côtés,
Les yeux fermés, je veillerai sur toi.
Je voguerai sur les sculptures de tes nuages.
Dans l’infini du monde,
Je vois encore ton visage,
Comme un chant de sirène,
J’entends les notes d’un piano,
Qui glissent comme sur des flocons de neige,
Maintenant je n’ai plus peur de partir
Car malgré mes blessures,
Tu es là tout simplement en sagesse,
Les yeux fermés, devant mon cœur.
L’inconnue, qui, comme un soleil,
Tu me regardes au petit matin,
Maintenant je n’ai plus peur de demain,
Un rayon de soleil s’accroche dans nos cœurs.

© J-Ph Verselin

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire